FCO caractéristique chez des vaches laitières non vaccinées - Le Point Vétérinaire n° 304 du 01/04/2010
Le Point Vétérinaire n° 304 du 01/04/2010

Maladies contagieuses des ruminants

Pratique

CAS CLINIQUE

Auteur(s) : Thierry Caillaux*, Antoine Lacheretz**

Fonctions :
*Cabinet vétérinaire
39, Grande-Rue
69590 Saint-Symphorien-sur-Coise
**Pathologie infectieuse
VetAgro Sup, campus vétérinaire de Lyon
1, avenue Bourgelat 69280 Marcy-L’Étoile

Le cas présenté rapporte l’évolution clinique de la fièvre catarrhale ovine (FCO) et ses conséquences économiques dans un cheptel bovin nouvellement infecté par un virus de sérotype 8.

La plupart des vaches laitières d’un élevage biologique sont atteintes de “coups de soleil” à répétition depuis une quinzaine de jours. Certaines refusent la traite en raison de lésions douloureuses apparues sur les trayons.

Cas clinique

1. Anamnèse et commémoratifs

Le 28 août 2008, un éleveur du Rhône téléphone au cabinet vétérinaire pour des “coups de soleil” qui apparaissent depuis 10 à 15 jours sur la peau et les trayons de plusieurs animaux de son troupeau. Il signale également que les vaches « bougent à la traite ».

L’exploitation comporte 33 vaches laitières, en majorité de race montbéliarde, et 8 à 10 génisses de renouvellement. Les animaux sont nourris au pâturage ou avec un foin d’ensilage et un foin de luzerne, complémentés par un mélange de triticale et de maïs et un granulé pour vaches laitières à 28 % de protéines.

Le quota laitier de l’exploitation est de 200 000 l de lait par an. Le bilan technique du contrôle laitier relève une moyenne de 6 342 kg de lait par vache, un taux moyen de leucocytes de 144 000 et un intervalle moyen entre les vêlages de 366 jours. L’éleveur pratique l’agriculture biologique. Il n’a pas souhaité faire vacciner ses animaux contre la fièvre catarrhale ovine (FCO) et n’utilise aucun traitement insecticide.

Un épisode de dictyocaulose a affecté le troupeau en juillet et un traitement par phytothérapie a été instauré. Une vache a avorté début juillet à 7 mois de gestation, une autre début août, à 8 mois de gestation.

2. Examen clinique

L’examen clinique des vaches permet d’observer chez la plupart d’entre elles la présence de lésions du mufle, donnant l’aspect d’un “nez cartonné”, et de plaques rouges et douloureuses sur la peau et les trayons (photos 1 et 2). L’état général des animaux n’apparaît pas altéré et aucune hyperthermie n’est relevée. Les lésions des trayons semblent seules responsables de la réaction des vaches à la traite.

3. Diagnostic et traitement

En raison du contexte épidémiologique de l’été 2008 et des choix de l’éleveur de ne pas faire vacciner ses animaux contre la FCO ni d’utiliser des insecticides, une infection par le virus de la FCO est envisagée en première hypothèse.

Des prises de sang sont réalisées chez les 6 vaches les plus atteintes pour une recherche virale par RT-PCR (reverse transcriptase-polymerase chain reaction). Les prélèvements se révèlent tous positifs, avec de fortes charges virales. Les valeurs de CT (cycle threshold ou cycle seuil) sont en effet comprises entre 23 et 26, soit inférieures à 28. Elles indiquent ainsi que la contamination est encore importante au sein de l’exploitation [1].

Conformément au type d’élevage et aux souhaits de l’éleveur, un traitement symptomatique est instauré : crème adoucissante aux plantes Mammibel®, tulle gras, teinture mère de Calendula et Lachesis 7 CH.

4. Évolution

Début septembre, et pendant une dizaine de jours, du 8 au 19 septembre, 9 des 33 vaches adultes, soit plus d’un quart du troupeau, déclarent une mammite (tableau 1). L’une d’entre elles est tarie avec une production de 22 kg de lait, car il est impossible de la traire (75 jours de tarissement). Les autres sont traitées avec succès par Mastijet® ou Synulox® en première intention, Stop M® et Orbenin® en seconde intention, aux posologies habituelles.

Durant ce même mois de septembre, un second épisode de strongylose respiratoire est constaté. Il est traité par des benzimidazoles.

Au début de l’automne, la fertilité apparaît dégradée (le taux de 50 % de réussite en première insémination artificielle n’est pas atteint), malgré une production laitière et un état d’engraissement des animaux très satisfaisants.

Début novembre, une vache avorte à 4 mois de gestation.

Le 1er décembre, une vache vêle normalement, mais développe, à la suite de la mise bas, une nécrose gangreneuse de la cuisse, dont la cause, inconnue, n’a pas été recherchée. Cet animal est euthanasié 1 mois plus tard.

Aucun autre trouble de santé majeur n’est noté chez les autres vaches par la suite.

Toutefois, les troubles d’infécondité persistent. Alors qu’en temps normal le taux de réussite en première insémination artificielle dans cet élevage est de 50 %, aucune des vaches ayant vêlé entre novembre 2008 et février 2009 n’est gestante au mois d’avril 2009. Les animaux ont pu être fécondés seulement en avril-mai 2009.

5. Troubles observés chez les veaux

Symptômes

À la mi-décembre, soit un peu plus de 3 mois après les premiers troubles de santé rencontrés chez les adultes, l’éleveur est confronté à des diarrhées chez les veaux, sévères et rebelles aux traitements habituels (Intestivo®, Enerlyte®). Leur aspect glaireux et leur couleur foncée évoquant la cryptosporidiose (Cryptosporidium parvum), un traitement préventif contre cette infection est mis en place à partir du 24 décembre, à base d’Halocur®, à la dose habituelle, durant les 7 premiers jours de vie.

Deux veaux nés en janvier présentent des troubles nerveux, avec une incoordination locomotrice et un refus de téter (photo 3).

Au bilan, les 7 veaux nés entre mi-décembre et mi-janvier ont été atteints (tableau 2). Trois ont présenté des retards de croissance importants et 3 autres ont dû être euthanasiés.

Examens complémentaires

Parallèlement, des examens de laboratoire sont pratiqués chez les veaux. Le 12 janvier, le veau n° 4, âgé de 17 jours, présente un résultat positif à la recherche de cryptosporidiose, confirmant la suspicion. Les autres investigations sont négatives (coronavirus, rotavirus, E. coli F5, E. coli C531A).

Deux jours plus tard, une recherche antigénique de maladie des muqueuses (BVD) et de FCO est pratiquée chez les veaux n° 5 et n° 7, âgés respectivement de 14 et de 2 jours. Les 2 animaux se révèlent négatifs au BVD. En revanche, alors que le veau n° 5 est négatif à la recherche de la FCO, le veau n° 7 est positif, avec un CT de 26,21, ce qui correspond à une charge virale assez importante. Une contamination transplacentaire a ainsi eu lieu.

Les veaux nés ensuite n’ont présenté aucun trouble de santé particulier.

Discussion

1. Épidémiologie

La fièvre catarrhale du mouton, ou blue tongue, est une maladie virale (Orbivirus) transmise par la piqûre d’insectes appartenant au genre Culicoides [6]. Cette affection doit en partie son nom aux symptômes les plus évidents qu’elle provoque (fièvre et inflammation catarrhale des muqueuses céphaliques) et à l’atteinte privilégiée des ovins.

Néanmoins, la fièvre catarrhale du mouton n’est pas pleinement spécifique. Elle peut, en effet, être observée chez d’autres espèces de ruminants domestiques et sauvages et chez les camélidés. Chez les bovins, par exemple, l’observation de cas cliniques est une situation réputée rare, mais classique lorsque la maladie est nouvellement émergente dans une région en raison de la survenue de certains des 24 sérotypes viraux recensés [4]. Tel est le cas, par exemple, du sérotype 8 (BTV-8) qui circulait depuis peu dans la région Rhône-Alpes au moment où le cas clinique rapporté s’est déclaré.

Pour référence, le BTV-8 circule en France métropolitaine depuis août 2006 et le sérotype 1 depuis décembre 2007 [1, 7]. Le contrôle des insectes vecteurs dans le milieu naturel étant difficile à envisager, les seuls moyens de prévention de la maladie sont essentiellement représentés par le traitement des animaux avec des insecticides agréés et leur vaccination. Il convient également d’associer la désinsectisation des véhicules de transport des bêtes, des bâtiments d’élevage et de leurs abords. Ces mesures n’ont pas été prises dans l’exploitation étudiée car les principes d’une agriculture biologique appliqués par l’éleveur conduisent à proscrire la plupart des traitements insecticides et les vaccinations dès lors qu’ils ne sont pas rendus obligatoires par voie réglementaire.

2. Un tableau clinique bien séquencé

Le cas d’élevage présenté est intéressant par la connaissance de la nature et de la séquence des événements cliniques observés dans une exploitation qui ne recourt pas, de principe, aux traitements allopathiques. La chronologie des principaux épisodes cliniques décrits est la suivante :

– des lésions externes cutanéo-muqueuses initialement observées chez presque toutes les vaches du troupeau. Elles intéressent notamment la peau (“coups de soleil”), le mufle et la muqueuse nasale (“nez cartonné”) et les trayons (lésions congestives et douloureuses). Ces dernières lésions sont responsables de traites difficiles en août 2008 ;

– des mammites qui ont concerné, en 10 jours, 9 vaches sur 33, soit un quart du troupeau, en septembre 2008 ;

– des diarrhées néonatales rebelles aux traitements habituels chez 5 veaux nés entre le 10 et le 31 décembre 2008 et des symptômes nerveux avec un refus de téter chez 2 veaux nés en janvier 2009. Parmi ces 7 veaux, 3 ont été euthanasiés, dont 2 atteints de troubles nerveux, et 3 autres ont présenté d’importants retards de croissance.

Le virus BTV-8 est reconnu pour traverser la barrière placentaire et infecter le fœtus dans environ 10 à 15 % des cas [1, 3, 5, 8]. Selon le stade de la gestation auquel survient la contamination, l’embryon meurt, ou le veau naît avec des troubles nerveux parfois importants ou des retards de croissance [3, 8]. Le veau n’est pas toujours viropositif. La virémie est transitoire et disparaît après quelques semaines [8].

Parallèlement à ces événements, trois avortements ont été décrits sur la période, ainsi qu’un cas de nécrose gangreneuse de la cuisse, qui n’est pas sans évoquer la myosite dégénérative qui accompagne classiquement l’évolution de la fièvre catarrhale ovine. Des troubles majorés d’infécondité ont également été observés du début de l’automne jusqu’au printemps, où toutes les femelles ont enfin pu être fécondées.

Le tableau clinique présenté se superpose à celui qui est décrit chez les bovins depuis l’introduction du BTV-8 en Europe de l’Ouest [2]. Cependant, aucune stomatite, aucune conjonctivite, aucun œdème sous-glossien, mammaire et des membres ne sont rapportés.

3. FCO : acteur ou révélateur ?

Si les lésions cutanéo-muqueuses sont directement liées à l’expression de la maladie, il est possible de se demander quel rôle la FCO a-t-elle joué dans l’apparition des autres troubles rencontrés. L’infection a-t-elle été un révélateur d’atteintes déjà présentes dans l’exploitation (immunité insuffisante, microbisme important, hygiène de traite ou conduite d’élevage défectueuses) ? La maladie est connue pour s’accompagner de complications bactériennes diverses. Le virus est un acteur à part entière dans l’affaiblissement des animaux et accroît leur sensibilité aux infections, notamment respiratoires et génitales (métrites).

Une acidose subaiguë rencontrée en début de lactation et le second épisode de strongylose pulmonaire en juillet semblent difficiles à imputer à la FCO, bien que, ce même mois, les leucocytes commencent à être plus nombreux dans le lait. Ces troubles se seraient en effet sans doute déclarés, car ils sont liés à l’alimentation (les sources azotées sont difficiles à trouver sur le marché bio et la complémentation énergétique à base de triticale est acidogène) et au choix du traitement antiparasitaire.

Plusieurs cas de FCO se sont déclarés dans les exploitations environnantes à partir de mi-juillet 2008, uniquement chez les animaux non vaccinés (génisses au champ), la campagne de vaccination étant terminée le 10 juillet. La FCO s’est accompagnée dans tous les cas d’autres infections, mais elle n’a été mortelle que très rarement. Toutefois, dans un élevage voisin, 4 génisses ont déclaré une coccidiose en même temps que la FCO et en sont mortes.

4. La FCO, une maladie réputée contagieuse

Sur le plan réglementaire, rappelons que la FCO est une maladie réputée contagieuse (MRC) chez les ruminants et les camélidés. Toute suspicion clinique doit entraîner une déclaration aux services vétérinaires départementaux et la prise de mesures sanitaires adaptées en vue de confirmer la suspicion et, le cas échéant, d’assainir la situation au niveau du foyer et en périphérie, sur un rayon pouvant atteindre 150 kilomètres.

Pour mémoire, les mesures prises impliquent, notamment, la vaccination des individus des espèces sensibles et des actions régulières de désinsectisation des animaux, des véhicules de transport de ces derniers, des bâtiments d’élevage et de leurs abords.

Le virus de la FCO peut être détecté dans le sang par une analyse de RT-PCR (virologie) jusqu’à 150 jours après la contamination. La charge virale (quantité de virus dans l’échantillon de sang) est déterminée par le CT de la RT-PCR, auquel elle est inversement proportionnelle. Si cette charge virale est faible, l’infection est considérée comme ancienne et la suspicion n’est pas confirmée. Si elle est élevée, l’infection est récente et le nouveau foyer est confirmé. Les sérotypes 1 et 8 sont recherchés de façon systématique depuis 2009.

5. Conséquences économiques de l’épisode

Dans cette exploitation, l’impact économique de la maladie a été important en raison de l’augmentation du nombre des visites d’élevage, du nombre des animaux examinés et traités, de la quantité de médicaments délivrée, des examens de laboratoire réalisés, des baisses transitoires de la production laitière et de la fertilité, ainsi que des pertes et des retards de croissance des veaux malades.

Avec des symptômes qui pouvaient a priori paraître anodins, les conséquences ont été notamment lourdes concernant les médicaments : leur coût total est passé de 1 770 € en 2007 à 2 566 € en 2008. Les frais liés aux mammites et aux diarrhées des veaux ont doublé par rapport à l’année précédente (20,45 € au total en moyenne par animal en 2008 contre 11,13 € en 2007), et les coûts dus aux traitements de l’infécondité ont été multipliés par six (7,6 € en moyenne par vache en 2008 contre 1,25 € en 2007).

L’élevage étant en contrat global de santé (système conventionné FEVEC), aucune incidence économique en termes d’honoraires n’est à prendre en compte.

Devant l’ampleur des frais, l’éleveur a décidé de faire vacciner ses vaches contre la FCO durant la campagne de 2009.

Ce cas décrit bien la succession des troubles affectant un troupeau nouvellement infecté par le sérotype 8 du virus de la FCO et en dresse un tableau clinique caractéristique. Il met aussi en évidence l’importance des conséquences économiques, en rapport aux symptômes qui sont à première vue assez anodins. Il montre, enfin, à quel point le BTV peut révéler des difficultés sanitaires déjà présentes dans l’exploitation et amener à corriger la conduite du troupeau.

Références

  • 1 – Belbis G, Gartioux JP, Lagalisse Y et coll. Lésions congénitales associées au virus de la FCO chez des veaux issus de mères vaccinées. Point Vét. 2009;40(295):67-71.
  • 2 – Belbis G, Zientara S, Breard E et coll. Aspects cliniques de la fièvre catarrhale ovine (FCO) à sérotype 8 en France en 2007-2008. 15e Rencontres Recherches Ruminants, Paris, 3-4 décembre 2008:34.
  • 3 – Bughin J, Lebrun M, Quinet C et coll. La fièvre catarrhale ovine perturbe le développement nerveux central in utero. Point. Vét. 2008;39(286):16-17.
  • 4 – Dal Pozzo F, Martinelle L, Saegerman C et coll. Bluetongue: state of the art and European situation. European buiatrics forum, Marseille, 1-3 décembre 2009:127-133.
  • 5 – De Clercq K, De Leeuw I, Verheyden B et coll. Transplacental infection and apparently immunotolerance induced by a wild-type bluetongue virus seroype 8 natural infection. Transbound. Emerg. Dis. 2008;55:352-359.
  • 6 – Mertens PP, Maan S, Samuel A et coll. In: Fauquet CM, Mayo MA, Maniloff J et coll. Orbivirus, Reoviridae. Virus Taxonomy. VIIIth Report of the ICTV, Elsevier/Academic Press, London. 2005:466-483.
  • 7 – Saegerman C. Fièvre catarrhale ovine : l’Europe au carrefour de l’enzootie. Point Vét. 2008;39(290):41-47.
  • 8 – Thiry E, Mauroy A, Dal Pozzo F et coll. Les maladies virales transmissibles in utero chez les bovins. Journées nationales GTV, Nantes, 13-15 mai 2009:631-636.

POINTS FORTS

• Le tableau clinique de la fièvre catarrhale ovine (FCO) est “classique” et bien séquencé dans le temps.

• Les symptômes de la FCO sont à première vue anodins, mais les conséquences économiques de cette maladie sont lourdes.

• Lors de FCO, la contamination transplacentaire des veaux est responsable de retards de croissance ou nécessite l’euthanasie de certains animaux.

• La FCO relève d’une déclaration obligatoire en tant que “maladie réputée contagieuse”.

EN SAVOIR PLUS

Textes réglementaires fixant les mesures relatives à la FCO

• Mesures financières

1 – Arrêté du 10 décembre 2008 fixant les mesures financières relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 17 décembre 2008, p. 19231, texte n° 19.

2 – Arrêté du 28 octobre 2009 modifiant l’arrêté du 10 décembre 2008 fixant les mesures financières relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 1er novembre 2009, p. 18945, texte n° 11.

• Mesures techniques

1 – Arrêté du 28 octobre 2009 fixant les mesures techniques relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 1er novembre 2009, p. 18946, texte n° 12.

2 – Arrêté du 20 novembre 2009 modifiant l’arrêté du 28 octobre 2009 fixant les mesures techniques relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 21 novembre 2009, p. 20081, texte n° 46.

3 – Arrêté du 17 février 2010 modifiant l’arrêté du 28 octobre fixant les mesures techniques relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 19 février 2010, p. 3041, texte n° 39.

• Zones réglementées

Arrêté du 28 octobre 2009 définissant les zones réglementées relatives à la fièvre catarrhale du mouton. JORF du 1er novembre 2009, p. 18948, texte n° 13.

SOURCE

“Conséquences d’une infection par le virus de la FCO dans un élevage non vacciné de vaches laitières”, présentation de Thierry Caillaux et d’Antoine Lacheretz à la deuxième journée “cas cliniques en pratique rurale”, ENVL/GTV de Bourgogne, d’Auvergne et de Rhône-Alpes, le 28 mai 2009, à Marcy-L’Étoile.

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