« Une communication multiforme pour une activité à 75 % rurale »

Avec l’ouverture de la communication, raisonnée, que nous permettra le nouveau Code de déontologie, nous pourrons amplifier nos efforts pour mieux nous faire connaître et valoriser notre activité, en utilisant les supports les plus adéquats. Nous nous sommes, en effet, rendu compte que nous ne le faisions pas suffisamment. Lors d’une journée portes ouvertes que nous avons organisée l’an passé, après des travaux de réfection dans les locaux canins de notre clinique, nous avons constaté à quel point les personnes des alentours se montraient surprises de la haute technicité de notre équipement (analyseur, appareil de radiologie numérique, etc.).

Une communication adaptée

Avec six associés, un ou deux ALD et quatre ASV, nous sommes une importante structure dans un bourg d’un peu plus de 2 000 habitants. Notre communication est donc multiforme. Elle commence par une signalétique et un totem, sous la forme d’une vache multicolore placée sur notre parking aux abords soignés. Notre activité est effectivement à 75 % en rurale. En clientèle rurale, nous privilégions les courriers individuels. Nous remettons en main propre aux éleveurs un dossier lors de chaque bilan sanitaire d’élevage (BSE). Il s’agit d’un document aux informations claires, abondamment illustré par des photos de ce que nous faisons en analyses, en imagerie, en chirurgie et lors de nos visites. Nous les réunissons également une fois par an pour leur présenter notre activité à travers un diaporama de 120 images pendant une heure et demie. Cette année, 120 de nos 200 clients ont répondu présent.

Nous sommes cependant plus circonspects sur l’impact réel de la communication numérique. Nous venons de modifier la présentation de notre site internet, dont nous attendons qu’il contribue à améliorer notre image. Concernant les écrans placés dans les deux salles d’attente, canine et rurale, l’impact est négligeable. Est-ce parce que ce support ne bénéficie ni d’explications ni d’un accompagnement, ainsi que l’assurent les ASV lorsqu’elles distribuent nos prospectus ?