ÉVALUER LE STRESS AU TRAVAIL EST UNE NÉCESSITÉ - La Semaine Vétérinaire n° 1381 du 20/11/2009
La Semaine Vétérinaire n° 1381 du 20/11/2009

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Auteur(s) : Nathalie Devos

L’excès de stress professionnel, qui aboutit parfois au burn out, voire au suicide, est de plus en plus médiatisé. Il touche toutes les catégories professionnelles et aussi bien les salariés que les libéraux. Mais en France, pas ou peu d’actions préventives concrètes sont mises en place pour gérer ce phénomène. Quelques études essaient de la quantifier dans certaines professions. Les vétérinaires sont en retard sur ce sujet, alors que leur métier apparaît comme hautement à risque.

Après le constructeur automobile Renault en 2007, la récente vague de suicides chez France Télécom, qui seraient imputés aux conditions de travail stressantes, a conduit le gouvernement à prendre des mesures pour enrayer ce phénomène. Ainsi, dans la lignée de l’accord du 2 juillet 2008 sur le stress au travail, Xavier Darcos, ministre du Travail, a demandé le 9 octobre dernier à toutes les entreprises de plus de mille salariés d’engager des négociations sur la prévention du stress professionnel et de progresser dans ces discussions avant le 1er février prochain. Le bilan devrait être tiré lors de la prochaine réunion du Conseil d’orientation des conditions de travail, prévue en février 2010. En outre, dans les très petites, petites et moyennes entreprises, le ministre souhaite la mise en place d’une information sur les risques psychosociaux, d’outils de diagnostic et d’indicateurs d’action avec l’aide d’organismes publics spécialisés.

44 % des Français interrogés reconnaissent être stressés au travail

Les enquêtes sur le stress au travail se sont multipliées ces derniers temps. Ainsi, un sondage réalisé par l’institut LH2 pour L’Express, rendu public le 8 octobre dernier, révèle que 44 % des Français dans leur ensemble s’estiment stressés au travail (voir aussi en page 10). En outre, 66 % d’entre eux se disent même de plus en plus touchés par ce phénomène, selon les résultats de l’Observatoire des perceptions et attentes des Français quant aux risques encourus dans la vie quotidienne, dévoilés le 6 octobre. Une autre enquête, menée par l’institut CSA pour l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), parue en avril dernier, s’est plus particulièrement intéressée aux salariés. Les résultats font apparaître que 41 % se disent stressés au travail, dont 13 % « très stressés ».

Ce stress mérite donc d’être pris sérieusement en compte au vu des effets néfastes, voire dangereux, qu’il engendre sur la santé (voir encadré ci-contre). Selon les chiffres 2007 de l’assurance maladie, les troubles psychosociaux sont devenus la première cause de consultation de la médecine du travail. L’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) indique de son côté que les coûts directs et indirects du stress sont estimés entre 830 et 1 656 millions d’euros par an, ce qui représente 10 à 20 % du budget de la branche “maladies professionnelles” de la Sécurité sociale.

Des organismes publics se sont intéressés au cas des médecins, avocats et pharmaciens

Les professionnels libéraux, au statut d’indépendant ou de salarié, ne sont pas épargnés, loin de là, par le stress engendré par leur activité. En novembre 2008, la Caisse régionale d’assurance maladie d’Ile-de-France (Cramif) et le Régime social des indépendants et des professions libérales d’Ile-de-France (RSI) ont organisé une soirée-débat(1) sur le thème du stress au travail (l’an dernier, un tiers des professions libérales étaient installées en Ile-de-France et 9 % des salariés travaillaient dans ce secteur). Selon les chiffres commentés, 47 % des médecins libéraux présentaient les symptômes du burn out (voir « Définitions ») et 53 % se sentaient menacés par ce syndrome d’épuisement professionnel. Une étude(2) francilienne, à laquelle ont répondu cette même année 2 243 médecins libéraux sur les 10 000 consultés, a recensé les causes de leur burn out. Y figurent en bonne place la charge de travail jugée trop importante, lestracasseriesdelagestion administrative, la non-reconnaissance de leur action, la longueur des journées et l’exigence des patients. Les conséquences du syndrome d’épuisement professionnel citées par les médecins interrogés sont le mal-être (90,1 % d’entre eux), la dégradation de la relation médecin/patient (85 %) et l’altération de la qualité des soins (84,8 %).

Chez les avocats, la soirée-débat a révélé qu’un professionnel sur deux était en situation de détresse psychologique, le plus souvent les jeunes femmes au statut de collaboratrice. Une enquête du Conseil national de l’Ordre des avocats de 2003 note une consommation excessive d’alcool chez 29 % d’entre eux (plus de trois verres par jour). Les avocats qui exercent seuls ou dans de petits cabinets dénoncent une surcharge de travail et des heures interminables (jusqu’à quatorze par jour) qui relâchent les liens sociaux (famille, amis), ainsi que des relations de travail difficiles, tant sur le plan cognitif que d’un point de vue émotionnel. En outre, nombreux sont ceux qui se plaignent de l’impossibilité de prendre des vacances, ce qui rejaillit sur leur état de santé physique et moral.

Du côté des pharmaciens d’officine, selon la Cramif et le RSI, le stress prend principalement sa source dans des événements violents ponctuels (agressions physiques, cambriolages), mais également dans des incidents et des tensions au quotidien (vols, incivilités, agressivité des clients).

L’évaluation du stress et sa prévention chez les vétérinaires doivent être renforcées

La profession vétérinairen’est évidemment pas épargnée par le phénomène. Les causes de stress chez les praticiens, voire de burn out, sont sensiblement les mêmes que celles évoquées par les médecins. S’y ajoutent les gardes, la continuation des soins ou encore le sentiment d’un « appauvrissement » progressif de la reconnaissance de la profession. Les consœurs et les confrères qui exercent dans d’autres secteurs que la clientèle ont aussi leurs propres sources de stress. Pour preuve les récentes manifestations des vétérinaires inspecteurs, par exemple, qui dénoncent une dégradation de leurs conditions de travail. Pourtant, les études d’évaluation du stress chez les vétérinaires sont peu nombreuses. L’association Vétos-Entraide (voir encadré) travaille sur le stress au travail depuis plusieurs années et propose des documents sur le sujet sur son site Internet. Toutefois, les données concernant l’évaluation du stress chez les vétérinaires remontent à quelques années et ne concernent qu’un faible effectif de la profession.

45 % des praticiens pensent avoir déjà subi un burn out, selon une thèse vétérinaire

Notre consœur Deborah Tupin, dans sa thèse(3) soutenue en 2005, s’est intéressée au burn out chez les praticiens. Elle rappelle en préambule qu’àpartirdumomentoùlefondementdu métier repose sur la réussite d’une relation d’aide à une personne – comme c’est le cas pour les infirmières, les médecins, les assistantes sociales, les enseignants, les policiers, etc. –, le burn out est potentiellement présent. La profession vétérinaire entre donc bien dans ce cadre, puisque les praticiens (seule catégorie de vétérinaires inclus dans l’étude de notre consœur) aident les propriétaires face à la souffrance de leurs animaux.

C’est sur cette base que l’enquête a été menée. Notre consœur a élaboré un questionnaire de vingt-deux questions portant sur sept grands thèmes : la connaissance du burn out, l’insatisfaction au travail, l’épuisement émotionnel, l’accomplissement personnel, la déshumanisation de la relation à l’autre, les facteurs de stress, et la prévention du burn out. Chaque vétérinaire inscrit dans l’Annuaire Roy 2004 sous la dénomination “secteur libéral” et dont l’adresse électronique était indiquée a fait l’objet d’un e-mail. Couvrant 96 départements, 2 105 courriels ont ainsi généré 235 réponses. En effet, certains messages ne sont pas parvenus à leur destinataire en raison d’une adresse inconnue ou erronée (erreur de saisie), d’une messagerie pleine, etc.

Les activités canine pure, mixte, équine, industrielle et autre (animaux exotiques, etc.) ont été distinguées. Les principaux résultats montrent que près de la moitié (45 %) des vétérinaires interrogés sur leur vécu négatif pensent avoir subi un épisode de burn out (voir graphique 1). Ces chiffres sont suffisamment impressionnants pour s’y intéresser de plus près, même s’il ne s’agit peut-être pas toujours d’un véritable burn out (certains avouent qu’ils ne connaissent ce syndrome« que superficiellement » ou « le comprennent sans lui donner vraiment un nom ») et que, par ailleurs, 46 % de vétérinaires répondent par l’affirmative à la question « pensez-vous pouvoir être concerné par le burn out dans l’avenir ? ».

L’enquête montre également la multiplicité des facteurs de stress cités par les vétérinaires (voir graphique 2). Parmi eux, arrivent en tête le temps passé au travail (horaires), la difficulté de conjuguer vie familiale et professionnelle, et les relations avec la clientèle.

Un autre point ressort de l’étude : la confrontation du vétérinaire avec des réalités de gestion financière, comptable et de management pour lesquelles il n’a pas été formé. Les résultats du questionnaire font également apparaître qu’en moyenne, un quart des confrères estiment que la plupart des clients attendent trop d’eux (ce taux monte à 42 % chez les praticiens ruraux).

Les vétérinaires apparaissent plus anxieux que la population générale

Une autre thèse(4), universitaire cette fois-ci, soutenue en 2006, s’est attachée à étudier les liens entre les comportements suicidaires, l’anxiété et la dépression chez les vétérinaires. La méthodologie employée a consisté en l’envoi de trois types de questionnaires à 94 vétérinaires (59 hommes et 35 femmes) exerçant en libéral uniquement (seuls ou en association). Ces trois questionnaires sont le Reasons For Living (dont les items mesurent les motivations à vivre), le State-Trait Anxiety Instrument de Spielberger (qui mesure l’anxiété-état, une émotion transitoire caractérisée par la perception de sentiments d’appréhension, de crainte et de tension, et l’anxiété-trait, une prédisposition à répondre sur un mode anxieux, plus précisément par la peur, à des stimuli stressants) et le Beck Depression Instrument (qui mesure la dépression). Les items de ces questionnaires sont tous des indicateurs de facteurs de risques psychopathologiques du suicide.

Les résultats montrent qu’environ un praticien sur trois (32,68 %) de l’échantillon souffre d’anxiété-état moyenne à sévère et que 28,73 % des vétérinaires souffrent d’anxiété-état élevée à sévère. Par ailleurs, 39,36 % souffrent d’anxieté-trait moyenne à sévère et 35,11 % présentent une anxiété-trait élevée à sévère.

En ce qui concerne la dépression, 18,09 % de l’échantillon présente une dépression modérée à sévère et 3,19 % une dépression sévère. L’étude précise qu’il n’y a pas de différence significative entre les deux sexes pour l’anxiété et la dépression. Il n’y a pas non plus de lien significatif entre comportement suicidaire, motivations à vivre, anxiété et dépression en ce qui concerne le lieu d’exercice (zone citadine ou rurale), l’âge du vétérinaire (plus ou moins de quarante ans), la durée d’exercice de la profession (plus ou moins de seize ans).

Selon les données en sa possession, la doctorante conclut que, dans cet échantillon, les vétérinaires apparaissent comme plus anxieux et plus dépressifs que la population générale.

Le nombre de suicide chez les confrères est estimé à cinq ou six par an

Le taux de suicides est un indicateur parmi d’autres de l’état de santé d’une population. Mais il n’est souvent que la partie émergée de l’iceberg de l’anxiété et de la dépression des individus dans une société.

De 1993 à 2003, cinquante-quatre suicides de vétérinaires en activité sont recensés (même s’ils ne peuvent être formellement attribués aux seules conditions de travail). Les derniers chiffres, selon Vétos-Entraide, font état d’une moyenne de cinq à six suicides dans la profession par an, un nombre sans doute sous-évalué, car les causes de ces décès sont délicates à obtenir et font partie de l’intimité des familles.

Les données sur le nombre de suicides en France (établies par la Direction de la recherche des études de l’évaluation et des statistiques du ministère de la Santé) ne prennent en compte que le sexe et l’âge, le statut matrimonial (marié, célibataire, veuf), la région, le mode de suicide. Mais la profession n’est pas précisée, contrairement à ce qui est fait dans d’autres pays. Certaines études nationales ou internationales ont abordé qualitativement et quantitativement le suicide chez les médecins, les infirmières ou encore les policiers, mais aucune ne s’est penchée sur les vétérinaires en France.

Alors, il paraît important qu’un dépistage à grande échelle au sein de la profession de l’anxiété, du stress, de la dépression et du burn out, qui peuvent conduire à terme au suicide, devienne une réelle préoccupation nationale pour les instances professionnelles, même si des initiative sont déjà vu le jour. Ainsi,« Vétos-Entraide continue de travailler sur le sujet en tenant compte des spécificités de la profession et des modes d’exercice », souligne Vincent Dattée, président d’honneur et membre du conseild’administrationde l’association. « Des référents sociaux sont mis en place dans les conseils régionaux de l’Ordre (CRO), mais il reste beaucoup à faire. Vétos-Entraide souhaite que l’ensemble des structures d’aide à la profession (Ordre, syndicat, caisse de retraites, Association française de la famille vétérinaire, Association centrale d’entraide vétérinaire, etc.) et les CRO puissent œuvrer main dans la main, afin de permettre à ces derniers de jouer pleinement leur rôle de soutien et d’aide confraternelle », ajoute Edith Beaumont, présidente de l’association.

Le Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL) a financé, pour sa part, la formation des bénévoles de Vétos-Entraide dans les premiers temps de l’association, en 2003, pour mieux se mettre à l’écoute de ceux qui ont besoin d’aide. L’Ordre, quant à lui, a mis en place un observatoire des incivilités en mars 2007.

Du côté des écoles vétérinaires, des initiatives ont également vu le jour. Ainsi, l’ENV de Nantes propose depuis l’an 2000 un programme facultatif de travaux dirigés sur le thème de la relation clients. Par ailleurs, l’ENV de Toulouse, depuis 2006, a créé un master qui mène au premier diplôme de management vétérinaire, pour accompagner le praticien dans ses futures fonctions de chef d’entreprise qui peuvent être source de stress s’il n’y est pas préparé.

Des démarches et des initiatives qu’il apparaît important de multiplier dans un contexte socio-conjoncturel morose pour la profession depuis quelque temps.

  • (1) « Stress en pièces : soirée théâtre-débat », le 19/11/2008 à Paris.

  • (2) Réalisée par l’Union régionale des médecins libéraux et financée par l’assurance maladie.

  • (3) Déborah Tupin : « Le syndrome d’épuisement professionnel des soignants ou burn out chez les vétérinaires », thèse vétérinaire, 2005.

  • (4) Corinne Roulin : « Etude des liens entre comportements suicidaires, motivation à vivre, anxiété et dépression dans un échantillon de 94 vétérinaires », mémoire de thèse universitaire Toulouse II, 2006.

  • Source : INRS.

Définitions

• Stress : selon l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, il « survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face. Bien que le processus d’évaluation des contraintes et des ressources soit d’ordre psychologique, les effets du stress ne sont pas uniquement de nature psychologique. Il affecte également la santé physique, le bien-être et la productivité ».

• Le burn out : spécifique de la relation d’aide à la personne, il se définit par une triade, dont les proportions sont variables :

– le premier élément est l’épuisement émotionnel, autant physique que psychique (grande fatigue non améliorée par le repos, crises de larmes ou de colère, parfois refus d’agir). Il conduit à l’incapacité d’exprimer toute émotion. Des manifestations de désordres cognitifs peuvent également intervenir tels qu’une difficulté de concentration ou des troubles de la mémoire ;

– la deuxième composante du burn out est la déshumanisation. La relation à la personne, devient sèche, froide, détachée, distante ;

– le dernier élément est le sentiment d’échec professionnel : impression de ne pas être efficace, de ne plus faire du bon travail, frustration sur le sens donné à son métier. La relation à l’autre est considérée comme partie intégrante de l’identité du professionnel. Ce dernier considère alors ne plus être à la hauteur et il va se déconsidérer, se culpabiliser et se démotiver.

N. D.

Vétos-Entraide : un espace d’écoute confraternel et confidentiel

L’espace d’écoute de l’association Vétos-Entraide est né en 2002 en même temps que l’association. Sa vocationest de répondre aux appels téléphoniques et aux courriels de confrères (ou de leur famille) en situation de détresse psychologique.

Le groupe est aujourd’hui constitué de 14 écoutants, tous vétérinaires en activité, formés au cours d’un stage annuel dispensé par un organisme professionnel. Au sein de cet espace, chaque demande d’aide est traitée avec attention, chaleur et confraternité. Tout appelant est écouté à sa seule initiative et autant de fois qu’il le souhaite. Les échanges sont strictement anonymes et confidentiels.

L’espace d’écoute de Vétos-Entraide peut être contacté par plusieurs voies :

– par courriel : ecouter@vetos-entraide.com ;

– via le site Internet : www.vetos-entraide.com, en utilisant le lien “bouteille à la mer” sur la page d’accueil (réponse sous vingt-quatre heures);

– par courrier : Espace d’écoute de Vétos-Entraide, 145 route d’Avignon, 30000 Nîmes ;

– par téléphone, au numéro unique d’appel : 01 74 90 26 20 (en cas d’absence ou d’indisponibilité momentanée de l’écoutant bénévole de service, laisser ses coordonnées permet d’être rappelé dans les meilleurs délais).

Principaux symptômes d’un état de stress chronique

• Symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l’appétit et de la digestion, sueurs inhabituelles, etc.

• Symptômes émotionnels : sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes ou de nerfs, angoisse, excitation, tristesse, etc.

• Symptômes intellectuels : difficultés de concentration, erreurs, oublis, difficultés à prendre desinitiatives, etc.

• Symptômes comportementaux : modification des conduites alimentaires, comportements violents et agressifs, isolement social (repli sur soi, difficultés à coopérer), consommation de produits calmants ou excitants (café, tabac, alcool, somnifères, anxiolytiques), etc.

N. D.

LIENS UTILES

• Site de l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail : www.anact.fr

• Site du ministère du Travail : www.travailler-mieux.gouv.fr

• Site de Vétos-Entraide : www.vetos-entraide.com (onglet partie vétérinaire, puis stress profession)

• Site de l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles : http://www.inrs.fr

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