La poule de compagnie : conseils aux éleveurs amateurs - Le Point Vétérinaire.fr

La poule de compagnie : conseils aux éleveurs amateurs

Sandrine Combaret | 26.05.2017 à 11:36:41 |
Une poule rousse
© George Clerk – iStock

Désormais communément installées dans les jardins des particuliers, les poules de compagnie ont des besoins qu’il convient de respecter pour préserver leur confort de vie et prévenir les maladies.

Les années 2000 ont vu se développer les élevages familiaux de poules en zones urbaines et péri-urbaines. La principale motivation des propriétaires est écologique : une poule recycle jusqu’à 200 kg de restes alimentaires en une année. Elle produit des fientes utilisables en engrais pour le jardin ou le compostage, elle est friande d’insectes, de limaces et d’escargots (les traitements chimiques deviennent inutiles). En prime, les propriétaires bénéficient de la compagnie d’une espèce très sociale et récoltent des œufs extra-frais.
Pour maintenir ces poules de compagnie en bonne santé, il est indispensable de connaître leurs besoins fondamentaux et de reconnaître les premiers symptômes de maladie.

Choisir les bonnes poules
Il existe plus de 40 races de poules françaises, plus de 200 dans le monde. Chacune a des caractéristiques propres : taille (races naines, moyennes ou grandes), plumage, production orientée œuf ou chair. Les œufs eux-mêmes sont plus ou moins gros, parfois colorés. Des races hybrides, issues du croisement de races pures pour augmenter la production en œufs ou en viande, existent également ; par exemple, la poule rousse, très répandue.
La durée de vie d’une poule est variable : de 4 à 6 ans pour les races hybrides, et jusqu’à 10 ans pour les races pures.
La présence d’un coq n’est pas nécessaire pour avoir des œufs, elle l’est pour obtenir des poussins (la couvaison dure 21 jours). Le coq est utile pour chasser les intrus, mais il peut se montrer agressif et son chant est souvent source de troubles du voisinage. Compter un coq pour quatre (races naines) à 10 poules.

Retrouvez l’intégralité de ce dossier en pages 6 à 9 du supplément ASV n° 109.

Sandrine Combaret
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