Dans un monde incertain et en crise, l’élevage en France, de bovins en particulier, a un bel avenir devant lui. Car il reste une certitude : « », affirme notre confrère Pierre Mathevet, responsable de l’activité “ruminants” chez Merial, lors de la présentation d’une nouvelle campagne stratégique pour Eprinex®.
Depuis quelques années, Merial multiplie les enquêtes dans les élevages bovins. Les projets de développement des « éleveurs par vocation » sont freinés par des contraintes réglementaires, notamment environnementales, et l’augmentation des charges (avec la récente flambée des prix des concentrés en 2008). Comme beaucoup de professions, les éleveurs souffrent d’un manque de reconnaissance, à la fois financière et sociétale, sur la qualité de leurs produits. Ils aspirent à « gagner du temps et à dépenser moins », selon Alexandra Batard, responsable marketing “ruminants”.
Côté parasitisme, ils déclarent ne pas traiter chaque année tous leurs animaux, en particulier les vaches laitières et les mâles âgés de plus d’un an. Pour eux, « le parasitisme est un problème mineur et l’antiparasitaire à la fois un surcoût et une charge de travail supplémentaire ». Toutefois, ils ont conscience que ce traitement favorise la croissance, améliore la santé et le bien - être des animaux et prévient d’autres maladies.
Dans ce contexte, Merial souhaite apporter aux éleveurs français, sur le long terme, des preuves « de performance, de rentabilité, et même de confort psychologique » sur son endectocide à base d’éprinomectine : Eprinex®. L’objectif est de montrer un « éleveur libre, serein » et « satisfait du choix » de cet antiparasitaire qui ne lui fait perdre ni son temps, ni son argent. Sur le marché des endectocides (70 millions d’euros), Eprinex® représente un tiers des ventes (soit 43 % de celles des pour-on).
E Vandaële
Extrait de La Semaine Vétérinaire 1352