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Entrevoir l’avenir

Karin de Lange | 07.12.2017 à 12:55:51 |
Bureau de la Fédération vétérinaire européenne (FVE). De gauche à droite: Arne Skjoldager (Danemark), Rens van Dobbenburgh (Pays-Bas), Andrew Robinson (Royaume-Uni), Rafael Laguens (Espagne, président), Jan Vaarten (directeur exécutif), Zsolt Pintér (Hongrie)
© FVE

La Fédération vétérinaire européenne vient de publier son premier plan d’action Vet Futures Europe. Plusieurs des six axes prioritaires clés identifiés ont été abordés lors de son assemblée générale, à la mi-novembre.

L’assemblée générale de la Fédération vétérinaire européenne (FVE), qui s’est tenue à Bruxelles (Belgique) les 10 et 11 novembre derniers, a été l’occasion de développer plusieurs des six axes prioritaires clés – leadership, parcours professionnels, élargissement du rôle vétérinaire, entreprises vétérinaires durables, bien-être de la profession et innovation technologique – identifiés dans le plan d’action Vet Futures Europe, que la FVE vient de publier. 
La question des chiens brachycéphales figurait à nouveau à l’agenda de Bruxelles. La veille, celle de l’Union européenne des vétérinaires praticiens (UEVP) avait permis à la spécialiste en chirurgie vétérinaire Tonje Trinterud (Norvège) de passer en revue les conséquences de cette “malformation congénitale” chez le chien. « La profession doit montrer du leadership », a affirmé Monique Megens, ancienne présidente de la Fédération européenne des associations de vétérinaires canins (Fecava). Elle a développé les actions menées par la Fecava dans ce domaine, comme la table ronde et les recommandations d’experts à Copenhague (Danemark). L’évocation du T-shirt et du masque d’entraînement réducteur d’oxygène, qui permet d’imiter la respiration difficile chez ces chiens, a captivé l’auditoire.

Un vide juridique pointé par la Feeva
La Fédération européenne des associations de vétérinaires équins (Feeva) représente actuellement quelque 8 000 praticiens dans 20 pays, selon sa présidente Mette Uldahl (Danemark). Pendant son rapport d’actualités, elle a signalé une lacune actuelle dans la législation. Les chevaux doivent disposer d’un passeport équin à partir de 11 mois d’âge, donc de nombreux poulains demeurent sans passeport. « Légalement, ces animaux ne peuvent pas être médicalisés », constate-t-elle, précisant que la Feeva avait reçu le soutien de l’UEVP et de la FVE pour demander à la Commission européenne de résoudre ce problème.

Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 12-13 de La Semaine Vétérinaire n° 1743.

Karin de Lange
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