Obligation de moyens et responsabilité du vétérinaire : cas pratiques en activité canine - Le Point Vétérinaire.fr

Obligation de moyens et responsabilité du vétérinaire : cas pratiques en activité canine

Christian Diaz | 12.05.2016 à 10:13:48 |
dessin félé, questions pour un vétérinaire
© Félé

Que ce soit pour répondre à certaines présentations cliniques ou à des obligations ordinales ou réglementaires, le praticien se doit de proposer des moyens adaptés. Le vrai du faux avec une sélection de situations courantes.

L’anesthésie d’un chien ou d’un chat polytraumatisé nécessite une radiographie thoracique préalable
VRAI. Chez le chien et le chat polytraumatisés, l’incidence des lésions thoraciques est comprise entre 13 et 57 %. Ces lésions engagent le pronostic vital, avec un taux de mortalité associé qui varie de 10 à 18 %. À ce titre, leur détection constitue un enjeu diagnostique et thérapeutique. L’auscultation simple ne permet pas toujours d’exclure un pneumothorax. Ces lésions constituent une contre-indication à l’anesthésie. Si celle-ci est indispensable, leur connaissance permet d’en limiter les risques.

L’oxygénation préalable doit être la règle avant une césarienne chez la chienne
VRAI. Lors de césarienne, l’hypoxie menace la chienne et les chiots. Toute souffrance fœtale augmente le risque de mortalité des chiots dans les deux premières semaines.
L’animal doit être intubé et oxygéné pendant l’intervention. Une préoxygénation permet de combattre l’hypoxie. Elle peut être effectuée au masque.

Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 50-51 de La Semaine Vétérinaire n° 1674.

Christian Diaz
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